Joaquim était arrivé en France dans les années 60/70, moment de la grande vague d'immigration Portugaise. Grand travailleur, sociable et serviable, il s'intégra rapidement dans la collectivité pour devenir un bon dalletou à l'accent portugais. Son grand souhait : devenir propriétaire d'une maison pour loger son épouse, ses deux filles et ses trois garçons, sera rapidement exaucé, en ajoutant aux ressources du foyer les " extras du samedi et dimanche ".
J'ai bien connu Joaquim, à une époque ou nous manions ensemble la truelle et le fil à plomb. Aujourd'hui rendons hommage à sa belle attitude citoyenne tenue pour son pays d'accueil.
En cette douloureuse circonstance la gazette présente à la famille ses très sincères condoléances.